- Pourquoi la signature électronique est devenue un outil stratégique pour les DAF ?
- Quels types de signature électronique choisir ?
- Points clés à vérifier avant de choisir sa plateforme
- Chiffres-clés à retenir
- Pourquoi choisir SenDOC ?
- Les questions posées fréquemment…
- Vous souhaitez plus d’informations ?
Pourquoi la signature électronique est devenue un outil stratégique pour la DAF ?
Que ce soit pour signer des contrats fournisseurs, des devis, des bons de commande ou des documents RH, la signature électronique s’impose comme un levier d’efficacité, de sécurité et de conformité.
En moyenne, une signature papier prend 5 jours à être finalisée. La version électronique permet de réduire ce délai à moins de 24h, selon DocuSign.
Pour un DAF, il ne s’agit pas d’un simple outil de confort, mais bien d’un facteur de maîtrise des risques juridiques et d’accélération des processus.
Quels types de signature électronique choisir ?
La réglementation européenne eIDAS distingue trois niveaux de signature :
- Signature simple (SES) : envoi d’un lien ou d’un code par mail/SMS (adéquat pour des documents sans fort enjeu juridique).
- Signature avancée (AES) : identification du signataire + lien unique (requise pour des contrats commerciaux ou engagements financiers).
- Signature qualifiée (QES) : équivalent à une signature manuscrite, avec vérification d’identité poussée (obligatoire pour certains actes juridiques).
➡️ Pour les DAF, la signature avancée suffit dans 90 % des cas.
Points clés à vérifier avant de choisir sa plateforme
- Conformité eIDAS et RGPD
Assurez-vous que la plateforme est certifiée pour les signatures avancées et qualifiées, et que les données sont hébergées en Europe.
- Traçabilité et preuve
Une bonne solution doit générer un journal de preuve indiquant :
- adresse IP, date, heure, code de validation,
- identité du signataire (KYC, pièce d’identité),
- horodatage qualifié.
Ce journal est indispensable en cas de litige ou de contrôle.
- Archivage à valeur probante
La signature électronique n’est valable que si le document est conservé dans un coffre-fort numérique certifié, sans possibilité d’altération.
- Intégration au SI
Une solution performante s’intègre :
- aux ERP (SAP, Sage, Cegid…),
- à la GED et au coffre-fort numérique,
- aux workflows internes (commandes, contrats, validation budgétaire…).
- Expérience utilisateur
La signature doit être possible depuis un mobile, sans création de compte, et le parcours de signature doit être fluide même pour des tiers externes.
Chiffres-clés à retenir
- 81 % des DAF constatent une réduction des délais de traitement grâce à la signature électronique (source : PwC).
- En moyenne, une entreprise économise 20 € par document signé électroniquement.
- Le taux de documents signés dans la journée passe de 30 % à 85 %.
Pourquoi choisir SenDOC ?
SenDOC propose une signature électronique avancée conforme eIDAS, avec :
- une traçabilité complète,
- un archivage sécurisé à valeur probante,
- une intégration simple à vos processus comptables ou juridiques,
- des tarifs adaptés à vos volumes, sans engagement inutile,
- la possibilité de personnaliser l’espace de signature pour respecter votre identité numérique
Les questions posées fréquemment...
La signature électronique est-elle reconnue en cas de contrôle fiscal ?
Oui, à condition que le processus réponde aux exigences eIDAS, avec un journal de preuve et un archivage sécurisé.
Peut-on faire signer plusieurs parties sur un même document ?
Oui, avec des circuits multi-signataires et des règles d’ordre de signature.
Quel est le niveau requis pour les contrats fournisseurs ?
La signature avancée est suffisante dans la quasi-totalité des cas.
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